Dans un communiqué rendu public hier lundi 1er mai, le syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a fustigé les déclarations de la présidente du Parti destourien libre (Pdl) portant sur des soupçons de corruption liés à des centres de formation en médias.
Dans une vidéo diffusée récemment sur sa page Facebook, Abir Moussi a accusé certains journalistes et responsables de médias de recevoir des fonds pour des formations fictives et ce dans le cadre d’opérations de corruption.
« Le syndicat refuse le harcèlement exercé par Abir Moussi contre les journalistes et réfute toutes ses fausses accusations et ses contre-vérités », a-t-on communiqué.
Enfin, le SNJT a annoncé qu’il se réserve le droit de porter plainte contre elle.