L’Algérie avertit : "Tripoli une ligne rouge, espérant que personne ne la traversera"

L’Algérie avertit : "Tripoli une ligne rouge, espérant que personne ne la traversera"
International



A l’issue de sa rencontre lundi 6 janvier à Alger avec le chef du gouvernement d'union nationale libyen (GNA), Fayez al-Sarraj, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a appelé la communauté internationale à "imposer un cessez-le-feu" en Libye. « La présidence algérienne appelle la communauté internationale, en particulier le Conseil de sécurité des Nations Unies, à assumer ses responsabilités pour imposer un cessez-le-feu immédiat et mettre fin à l'escalade militaire en Libye », a-t-on communiqué. "L'Algérie considère Tripoli, comme une ligne rouge, en espérant que personne ne la traversera", a averti la présidence algérienne, citée par plusieurs agences de presse mondiales. Le président algérien a réitéré son "refus absolu de toute ingérence étrangère en Libye" et exhorté "toutes les composantes et parties libyennes à un retour rapide au processus du dialogue national inclusif".